ça le fait pas
ami lecteur, je te salue
t'es en forme ?
en ce qui me concerne, je suis un peu fébrile : j'attends la sortie du nouvel almodovar !
nan j'déconne...
à vrai dire, j'suis un peu fatigué ; pas physiquement, nan, plutôt psychologiquement
ce sont les individus qui m'entourent qui me rendent las pour la plupart & je te compte parmi eux, lecteur
pour citer katerine, je me demande qui sont ces êtres humains qui respirent à mes côtés & quelles sont leurs aspirations
hé, c'est la mort qui nous attend bientôt, réveillez-vous !
à travers ce modeste blog, je tente laborieusement de vous remuer & j'ai l'impression d'uriner dans un violoncelle !
ce n'est pas aux messagers que je m'adresse, mais bien aux êtres vivants & je pèse mes mots
de quoi me plains-je en même temps : maintenant quand "je sors le samedi", putain, quand je reviens, ardisson est à peine commencé : je fais une pierre, deux coups ! énorme
c'est pas tant le politiquement correct qui me fait chier, j'sais pas trop ce que ça veut dire, mais le côté raisonnable de nos vies de blaireaux
bon, je suis pas d'dans en même temps, j'me sens pas inspiré, & en plus, j'vois vos têtes de pas concernés, & ça, ça me brise vraiment
- ben alor stachy, t'as pas le moral ? & le côté poilu de la force alors ?
certes, certes, mais un homme, aussi super soit-il, n'est rien sans un entourage motivant
aucun sujet ne m'emballe vraiment
l'affaire clearstream : je vous avais prévenu ! c'est le côté obscur qui domine chez galouzeau
les fachos en pologne : l'histoire se répète
les choix imbéciles de domenech : si encore il avait gardé sa moustache
nan, j'y arrive pas
c'est pas une question de coeur non plus, nan, c'est que c'est à vous que je m'adresse & c'est vous qui me faites chier
j'pourais me taire, mais ce serait vous donner raison
alors je soliloque
après tout, le vip, ici, c'est moi
& c'est ce qui manque chez toi, accompagnateur de ma vie, le côté sexy, groovy, funky, creasy, cheesy...
j'suis exigeant, je sais, mais c'est dur de se sentir seul
j'ai fait un rêve cette nuit, comme dirait l'autre : je n'ai pas imaginé les gens vivant en paix autour d'un piano blanc, non, j'ai imaginé que j'étais le pote de gérard darmon & qu'avec nos meufs respectives, on passait la nuit en s'enquiller des téquilas paf, comme ça en loucedé, alors que la ville dormait & que "tout le monde en parle" avait fermé boutique depuis un bon moment
yes, i had a dream...